En quinze ans, les pratiques de chemsex ont gagné en visibilité. Les substances majoritairement consommées demeurent des cathinones associées au GHB-GBL. Peu observée jusqu’en 2010, la kétamine est désormais fréquemment présente. Moins stigmatisé, le slam (injection de substances) devient plus visible. Les pratiques de chemsex « à distance » (c’est-à-dire par écran interposé) constituent aussi…