La pratique de l’inhalation du protoxyde d’azote à des fins récréatives s’est rapidement répandue, en particulier chez les jeunes, du fait de son effet euphorisant. Elle n’est pourtant pas sans risque comme le démontre l’étude de toxicovigilance conduite par l’Anses, sur la base des données des Centres antipoison (CAP). Rapport complet : 48 pages Synthèse : 4 pages Date de publication : 2020…