La pratique de l’inhalation du protoxyde d’azote à des fins récréatives s’est rapidement répandue, en particulier chez les jeunes, du fait de son effet euphorisant. Elle n’est pourtant pas sans risque comme le démontre l’étude de toxicovigilance conduite par l’Anses, sur la base des données des Centres antipoison (CAP).
Rapport complet : 48 pages
Synthèse : 4 pages
Date de publication : 2020
Auteur : ANSES
Rapport complet téléchargeable sur le site de l'ANSES :
https://www.anses.fr/fr/system/files/Toxicovigilance2019SA0216Ra.pdf
Synthèse téléchargeable sur le site de l'ANSES :
https://www.anses.fr/fr/system/files/VigilAnsesN11_Juin2020_VPC_Proto.pdf