Protoxyde d’azote - Étude des cas rapportés aux Centres antipoison entre le 1er janvier 2017 et le 31 décembre 2019

La pratique de l’inhalation du protoxyde d’azote à des fins récréatives s’est rapidement répandue, en particulier chez les jeunes, du fait de son effet euphorisant. Elle n’est pourtant pas sans risque comme le démontre l’étude de toxicovigilance conduite par l’Anses, sur la base des données des Centres antipoison (CAP).

Rapport complet : 48 pages
Synthèse : 4 pages
Date de publication : 2020
Auteur : ANSES

Rapport complet téléchargeable sur le site de l'ANSES :
https://www.anses.fr/fr/system/files/Toxicovigilance2019SA0216Ra.pdf

Synthèse téléchargeable sur le site de l'ANSES :
https://www.anses.fr/fr/system/files/VigilAnsesN11_Juin2020_VPC_Proto.pdf